LE SIGNE DES TEMPS
Il est une éternelle prière, Nul ne voit, nul n'entend... Mais mon âme prétend Qu'elle gît ici dans la poussière.
Il est de doux mystères, Nul n'entend, nul ne voit... Seuls échos de mon émoi Ils m'étonnent, m'atterrent.
Il est un dieu présent, Nul ne voit, nul n'entend... Dans l'éther d'une aurore immaculée
Le signe des temps, de soleil irisé, sur la terre chantée aura basculé, Comme la rose au vitrail brisée... |
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