Il est quelque part des êtres immuables D'une bonté infinie D'une rigueur impitoyable D'une essence infinie.
Et chaque fois que j'y pense C'est toute mon âme qui danse. Quelle est donc cette chose En moi enclose Et que lui se dispose A effeuiller telle une rose ?
Vers vous s'élever En vous cheminer Vers un travail achevé En un amour inné.
Par toi vivre la vie éternelle Sur ton épaule reposer mes peines S'élever en d'autres arcanes Par tes mains retrouver les ailes Qu'ici-bas j'ai perdues Et qu'un jour tu m'auras rendues. |
En toi me perdre Mais sentir mon âme vivre.
Depuis l'Egypte, que de temps ! Mais il revient en une nuit ce printemps ! ...
... De l'âme éternelle De l'aurore nouvelle.
Tu dis : << De simples enfants >> ... Contre toi rien ne me défend. Attirée par ta lumière Perdue comme en une prière J'aime en toi Tout ce qui est un peu moi. Et je reviens toujours Vers ce cosmique amour. |
| |